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L’effet placebo

N’avez-vous jamais entendu que les fleurs de Bach ne sont pas efficaces ?

Que leur soi-disant effet serait uniquement dû à un effet placebo ?

Soirée d'été

Placebo ? De quoi parle-t on ?

Placebo vient du latin « je plairai ».

Prenons la définition du Larousse : « Préparation dépourvue de tout principe actif, utilisée à la place d'un médicament pour son effet psychologique, dit « effet placebo ».


Le placebo est la substance ingérée, l’effet placebo est le mécanisme psychologique et/ou physiologique « d’autosuggestion » par lequel les symptômes seraient soulagés.

L’effet placebo a largement était prouvé et démontré par de nombreuses études et sa puissance ne fait aucun doute.


Mais reprenons la définition : « Préparation dépourvue de tout principe actif ». En effet, aucun principe actif n’est présent dans les élixirs. Nous sommes dans le registre du subtil et du non mesurable.

Il parait évident que la prise d’un produit visant à rééquilibrer nos émotions, c’est-à-dire à nous faire du bien, prédispose l’individu à un effet positif. Tout comme le fait d’aller rencontrer une personne, un conseiller par exemple, à l’écoute de nos difficultés, est déjà thérapeutique.

Ne vous est-il jamais arrivé de vous sentir mieux après avoir pris rdv chez votre médecin, alors même que vous ne l’avez pas encore vu ? N’avez-vous jamais reçu ou donné des « bisous magiques » qui soignent instantanément l’enfant souffrant ? Alors oui, évidemment, l’effet placebo est présent dans la prise des fleurs.


Mais il serait regrettable de réduire leur efficacité à ce seul effet. Les définitions sont unanimes : l’effet placebo ne dure pas dans le temps.

Or l’effet des fleurs est non seulement durable mais leur résultat est parfois surprenant et inattendu comme lorsque se produit ce que nous appelons dans notre jargon « l’épluchage de l’oignon ».


Le discours tenu par certains selon lequel « il faut y croire pour que ça marche » résulterait directement de l’effet placebo. L’expérience montre que bons nombres de sceptiques voient une nette transformation de leurs émotions après la prise des fleurs. Il est d’autant plus notable que cette évolution n’apparait pas d’emblée. M. sceptique aura tendance à dire « cela ne m’a pas fait de mal mais je ne vois aucun changement ». Mme sceptique pourra répondre « il ne s’est rien passé, je vais même encore plus mal ». C’est là où il est important de noter précisément les fleurs prises et les raisons pour lesquelles ces fleurs ont été choisies. Nous nous rendrons alors compte que les émotions et/ou situations évoquées se sont transformées voire n’existent plus.

Certains sceptiques pourront alors convoquer le « hasard », pourquoi pas….


Il est de coutume de dire que comme les animaux et les nourrissons réagissent à l’effet des fleurs, on ne peut pas parler d’effet placebo car ils n’ont pas conscience de la prise du produit. Or, bien que non prouvé unanimement, certaines études tendent à montrer que les nourrissons comme les animaux sont sujets à l’effet placebo car sensibles à l’intentionnalité présente dans la relation et/ou par conditionnement.

Aucune garantie, aucune certitude, seulement des possibles et des expériences à vivre.


Alors placebo ou pas ?

La question reste ouverte mais notons que l’effet placebo et les fleurs de Bach ont en commun la démonstration que l’être humain possède des capacités d’auto-guérison inestimables.


Ce sujet vous intéresse ? Vous avez envie d’y réfléchir avec nous ?

Vous avez suivi au moins un niveau 1, venez participer à la soirée d’été le lundi 10 juillet à 19h à Sauvagnas.


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